Histoires d’amour et de sport

Aujourd’hui, c’est le 14 février ! Alors pour la saint-Valentin, on a voulu parler d’amour… et de sport bien sûr ! Parce que le sport, c’est l’amour des autres mais aussi l’amour de soi et des principes de partage que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. Alors on a voulu fêter ça comme il se doit.

Comme certains autres domaines, le sport a réuni quelques-uns de ses protagonistes et en a fait les ambassadeurs de ses valeurs. Une passion commune qui en a réuni plus d’un ; de Roger Federer et Mirka Varinec à Alphonso Davies et Jordyn Huitema pour les plus jeunes, en passant par l’ex couple en or Tony Yoka et Estelle Mossely, tous les sports sont, à leur manière, à l’origine de relations passionnées à plus d’un titre.

D’ailleurs, que l’on coure après l’amour ou simplement pour l’amour du sport, on dénombre mille et une façons de tomber amoureu.x.se.

I – Le sport et l’amour

Aujourd’hui, entre la digitalisation du travail et la démocratisation du télétravail, les relations humaines sont mises à mal. Et si le sport peut être une forme d’échappatoire à la routine quotidienne, il permet également de se retrouver face à soi-même ou de faire des rencontres amoureuses. C’est le cas de Sandrine et Bertrand Bonelli, fondateurs des Cercles de la Forme, qui nous racontent leur histoire et leur relation au sport.

L’histoire de Sandrine et Bertrand des Cercles de la Forme

1 – Comment vous êtes-vous rencontrés ?

Dans son (Bertrand Bonelli) premier club aux Cercles Maillot. J’ai d’abord été cliente, puis coach dans cette salle. 

2 – Quel rôle joue le sport dans votre relation ?

Le sport est un catalyseur, cela nous permet d’avoir la même vision des choses. Moi, je viens de la danse. Lui, du judo. Et très vite, notre envie était de rendre le sport accessible à tous, peu importe la discipline. 

3 – Pourquoi avez-vous décidé de travailler ensemble sur ce projet sportif ? 

À l’époque, il n’y avait pas de grande enseigne en France.

Il pouvait y avoir un judoka qui ouvrait un club de judo, une danseuse qui ouvrait une salle de danse ou bien un karatéka pour le karaté, etc.

On a alors eu envie de faire une salle de sport où on trouverait beaucoup de choses, mais à un prix qui permettrait au plus grand nombre de pratiquer.

4 – C’est comment de travailler en couple ?

Pas toujours facile (rires), mais nous, ça fait 35 ans, la preuve que c’est faisable ! 

Ça permet d’aller plus vite qu’avec des associés ; beaucoup de décisions sont prises à la table du petit déjeuner.

5 – En quoi le sport peut-il être un vecteur d’amour et de partage ?

En tout ! Le sport, c’est le dépassement de soi, la passion, la joie. Quand on fait un sport et qu’on aime ça, c’est beaucoup de bonheur. Ça se marie bien avec une construction de vie. 

Si on rencontre quelqu’un dans le contexte du sport, ça fonctionne bien. Beaucoup de gens se sont rencontrés dans les clubs, que ce soit des membres ou même des coachs. Le sport fait qu’on partage les mêmes valeurs.

6 – Quelle activité parmi les disciplines disponibles aux Cercles recommanderiez-vous pour ce thème de l’amour ?

Tous les cours de danse à deux : salsa, bachata, kizumba.

Une success et love story à la fois qui a pu en inspirer plus d’un.e par la suite. D’ailleurs, c’est le cas de Candice et David qui, eux aussi, se sont rencontrés grâce au sport. Ils ont décidé de partager leur passion en travaillant la main dans la main.

L’histoire de Candice et David de MU:V

1 – Comment vous êtes-vous rencontrés ?

A la salle de sport !! Candice était coach, j’étais pratiquant. It was love at first sight ; on était beaux et musclés. 

2 – Quel rôle joue le sport dans votre relation ?

Le sport a été notre ingrédient de départ, notre alchimie. Sans sport, pas de rencontre, sans sport, pas d’équilibre, sans sport, pas de passion. 

C’est aussi bien notre épicentre que notre exutoire. Pour nous, le sport est partout. Certains couples partagent des séries sur Netflix, nous on partage des nouveaux mouvements, des astuces, des combos, des concepts, du matériel inédit, on fait même des tests avec nos enfants.

3 – Pourquoi avez-vous décidé de travailler ensemble sur ce projet sportif ? 

Le projet initial était d’aider Candice à monter sa structure “en restant dans l’ombre” car, au départ, il s’agissait de son métier.

Puis, les circonstances m’ont donné du temps du côté professionnel, j’ai donc décidé de me former, mais aussi d’investir du temps et de l’argent pour monter un projet un peu plus ambitieux…à deux, tout en restant dans l’ombre sur les aspects financiers, juridiques, comptables ou marketing.

4 – C’est comment de travailler en couple ?

Si on arrive à s’accrocher entre collègues, il faut se dire que c’est identique… au centuple !!

On vit ensemble, on est donc 2 entrepreneurs, avec des enfants, à travers le Covid à peine un an après notre lancement. C’est un équilibre délicat, avec des montagnes russes assez extrêmes. Mais parfois, ça permet de se morfondre à deux en mangeant du chocolat, ou à l’inverse de se soutenir quand l’un des deux broie du noir, et de célébrer à deux les petites victoires du quotidien.

5 – En quoi le sport peut-il être un vecteur d’amour et de partage ?

Le sport tel que nous le voyons est évidemment un partage, c’est un métier humain, une philosophie de vie, ce sont des expériences. C’est une quête permanente qui se partage, qui donne envie d’en savoir plus, de creuser, de découvrir, d’essayer. Et si les 2 partenaires sont peu ou prou dans la même dynamique, cela devient un vecteur de partage et d’amour comme le partage d’un repas gastronomique, d’un bon film, ou d’un voyage. Le sport est une expérience ou une philosophie partagée qui donne de l’élan à un couple, ou encore un challenge qui permet de se soutenir l’un l’autre, malgré les difficultés.

6 – Quelle activité parmi les disciplines que vous enseignez chez MU:V recommanderiez-vous pour ce mois du love ?

Sincèrement, Boxe, Pilates, TRX, Barre … n’importe laquelle tant que les partenaires y trouvent du plaisir, en apprenant, en s’amusant, en s’améliorant ou en se dépassant !

II – L’amour du sport entre ami.e.s

De belles histoires d’amour sont nées du partage d’une passion commune entre les sportif.ve.s. Si la vie est faite de rencontres, le sport permet de passer un cap et de se rapprocher et parfois de passer de connaissances ou collègues à ami.e.s, et plus si affinité. C’est le cas d’Arthur, Thomas et Alya, coachs chez Circle Movement, qui illustrent parfaitement les différents effets que peuvent avoir le sport sur nos personnes.

1 – Comment vous êtes-vous rencontrés ?

Avec Tom (Thomas), nous nous sommes rencontrés dans le cadre de notre précédent boulot. Alya étant en couple avec Tom et s’entraînant dans la salle dans laquelle nous travaillons, c’est naturellement que nous avons été amenés à nous côtoyer et à devenir par la suite amis.

2 – Quel rôle joue le sport dans votre relation ?

Le sport est central dans notre relation. Il a été notre lieu de rencontre et nous anime en continu aujourd’hui. Nous pensons qu’il peut être une porte d’entrée vers un lifestyle plus sain. 

3 – Pourquoi avez-vous décidé de travailler ensemble sur ce projet sportif ? 

Au fur et à mesure des discussions entre nous, nous étions tou.te.s les trois animé.e.s par une même envie, à savoir de développer une approche du sport plus équilibrée, évolutive et ludique.

4 – C’est comment de travailler en duo/trio ?

C’est très enrichissant et motivant. L’équilibre s’est fait naturellement selon les forces de chacun. On fonctionne en équipe ! 

5 – En quoi le sport peut-il être un vecteur d’amour et de partage ?

Tom et Alya se sont rencontrés grâce au sport. Aujourd’hui ils forment un couple magnifique. 

J’ai rencontré Tom et Alya grâce à notre passion commune pour le sport. Aujourd’hui ils sont ma famille. J’ai aussi rencontré ma copine dans le cadre du sport. Je crois que cela résume bien en quoi le sport peut être un vecteur d’amour et de partage (rires).

6 – Quelle activité parmi les disciplines que vous enseignez recommanderiez-vous pour ce mois du love ?

Venez tester un de nos daily practice !!

III – L’amour du sport en famille

En plus d’être un vecteur de rapprochement, les valeurs véhiculées par le sport sont un ciment pour les relations déjà établies. L’exemple parfait est celui de la famille. En effet, on ne choisit pas sa famille et le sport peut être un excellent prétexte pour se rassembler ou partager des émotions communes que l’on choisit. Et parfois, ces liens communs deviennent tellement forts que l’envie de partager sa passion en vient finalement à dépasser le cercle familial. C’est ce qui est arrivé à Lucas et Hugo, deux frères qui ont eu des fourmis dans les jambes lorsque leur est venue l’idée de partager leur amour du vélo avec le grand public en fondant Storm Cycling.

1 – Quel rôle joue le sport dans votre relation ?

Le sport joue le rôle de ciment, ça nous aide à nous rapprocher, partager et échanger. 

2 – Pourquoi avez-vous décidé de travailler ensemble sur ce projet sportif ? 

Une passion commune, le cyclisme à toujours été un amour de famille. 

Nous nous sommes rejoints car le timing était bon et nous avions des compétences complémentaires. 

3 – C’est comment de travailler en famille ?

C’est toujours plus simple de se comprendre, ça permet de savoir les réactions de l’autre avant même qu’elles arrivent. 

Pouvoir aller vite dans les discussions. La compréhension est plus simple sans passer par 4 chemins. On a le droit d’être direct avec l’autre. 

4 – En quoi le sport peut-il être un vecteur d’amour et de partage ?

Le sport permet d’échanger et de communiquer, se challenger et donc de partager. 

5 – Quelle activité parmi les disciplines cyclistes que vous enseignez recommanderiez-vous pour ce mois du love ?

Une belle ascension ZWIFT à deux.

IV – L’amour du sport chez Urban Sports Club

Vous l’aurez compris, chez Urban Sports Club, on est aussi animés par la passion du sport et le pouvoir de partage qui en ressort. Certains membres ont d’ailleurs voulu le partager avec vous.

Vincent : Grâce à Urban Sports Club, j’ai pu découvrir la boxe thaïlandaise et franchir mon appréhension des sports de combat, j’y ai fait des rencontres épanouissantes, enrichissantes et maintenant je suis accro !

Loryne : Avant le covid , je suis tombée amoureuse du WOD. Je n’avais pas compris ce que c’était que le cross fit… De fil en aiguille, je me suis renseignée et j’ai pris l’abonnement L pour effectuer plus de séances et être performante dans cette discipline.

Lucille : Cela fait plusieurs années que je suis membre Urban Sports Club. J’aurais pu raconter des tas d’histoires. Mais celle que j’ai choisie de vous raconter, c’est comment Urban Sports Club m’a aidée à surmonter mon burn out. À ce moment-là, reprendre une activité physique était crucial, mais ce n’est pas tout : c’est notamment grâce à votre partenaire Les Liens que j’ai guéri mes angoisses, retrouvé le moral, mais aussi trouvé la voie professionnelle qui me correspond vraiment. J’y ai aussi rencontré une amie en la personne d’une autre membre Urban Sports Club qui traversait la même chose. On s’est soutenues pendant des mois et, aujourd’hui, on démarre chacune nos nouvelles activités professionnelles et ça a été le début d’une belle amitié !

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